Dans une déclaration fracassante, Guillaume Soro, ancien Premier ministre et leader politique ivoirien a récemment dénoncé l’acharnement judiciaire dont fait l’objet le professeur Franklin Nyamsi, président de l’association Crush Party de Paris et l’un de ses proches alliés. Ce dernier est actuellement ciblé par une procédure pénale en France, un acte que Soro considère comme une persécution politique orchestrée par les autorités ivoiriennes, avec la complicité des autorités françaises.
Acharnement Judiciaire contre le professeur Franklin Nyamsi
Le professeur Franklin Nyamsi, intellectuel reconnu, fervent défenseur de Guillaume Soro et de l’Afrique, est au centre d’une procédure pénale qui semble s’inscrire dans une volonté de neutralisation politique. Guillaume Soro, a ouvertement dénoncé cette manœuvre, affirmant que cette procédure est une extension des persécutions dont il est lui-même victime. Selon Soro, cette affaire judiciaire n’est qu’une nouvelle étape dans la tentative des autorités de le réduire au silence, en attaquant ses plus proches collaborateurs.
Le professeur Franklin Nyamsi, qui a toujours soutenu Guillaume Soro, s’est fait de nombreux ennemis au sein du régime d’Alassane Dramane Ouattara en raison de son franc-parler et de ses critiques contre le pouvoir ivoirien en place. Cette persécution judiciaire, orchestrée en France, soulève des questions sur l’indépendance de la justice et l’usage de celle-ci comme arme politique.
Accusations Portées contre le professeur Franklin Nyamsi
Guillaume Soro, ancien Premier ministre et leader politique ivoirien, accuse la justice française d’être influencée par le régime ivoirien pour déstabiliser son réseau d’alliés à l’international. Le professeur Franklin Nyamsi, par sa position de président de Crush Party, une association ayant pour objectif de soutenir Guillaume Soro et son mouvement politique, est particulièrement exposé. Les charges portées contre lui restent floues, mais l’objectif, selon Soro, est de l’isoler et de l’affaiblir politiquement en utilisant la justice à des fins personnelles et politiques.
Instrumentalisation de la Justice Française
Guillaume Soro a également souligné que cette procédure judiciaire s’inscrit dans une longue série d’actions visant à discréditer et à affaiblir ses soutiens à l’échelle internationale. Il dénonce une instrumentalisation de la justice française, mettant en cause la neutralité de celle-ci face à la pression exercée par le régime d’Abidjan. Cette affaire met en lumière la complexité des relations entre la France et la Côte d’Ivoire, où les alliances politiques influencent visiblement les décisions judiciaires.
Un Scénario Politique Répété
Ce n’est pas la première fois que Guillaume Soro dénonce des actions de harcèlement judiciaire à l’encontre de ses proches. Depuis son exil, l’ancien Premier ministre ivoirien a vu plusieurs de ses collaborateurs subir des pressions, tant en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger. le professeur Franklin Nyamsi, en tant qu’intellectuel influent et figure de proue du mouvement pro-Soro, est devenu une cible évidente dans cette lutte acharnée contre l’opposition ivoirienne.
Le cas du professeur Franklin Nyamsi, victime d’une procédure pénale en France, illustre l’acharnement judiciaire contre ceux qui osent s’opposer à Alassane Dramane Ouattara. Guillaume Soro continue de dénoncer ce qu’il perçoit comme une justice politisée, utilisée pour museler l’opposition. L’affaire Nyamsi, loin d’être un cas isolé, renforce l’idée d’une instrumentalisation judiciaire visant à détruire les alliés de Soro, et par extension, à affaiblir sa base politique.
PBK